BEAUTY AND THE GREEKS
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 « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol

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« i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol Vide
MessageSujet: « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol   « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol EmptyDim 19 Sep - 4:33

« i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol Yvonne-yvonne-strahovski-7392021-100-100 « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol Olivia-wilde-olivia-wilde-14736154-100-100
© livejournal


weenie & warhol


« Aimer, c’est prendre le risque d’être vulnérable. » Je n’aimais pas être vulnérable. Je n’aimais pas savoir que quelqu’un pouvait être en totale possession de mes sentiments, de mes émotions, de ce que je faisais, de tout ce qui faisait de moi la personne que j’étais et ce par quoi je passais. Je ne voulais pas jumeler ma destinée à celle de quelqu’un. Je ne voulais pas me savoir attachée à une âme, je ne voulais plus ressentir ce sentiment de besoin, d’attachement. Qui aurait crû qu’être amoureuse m’aurait causée autant de soucis, aurait créer en moi une telle peur, un acharnement à ne plus vouloir vivre de telles sentiments? Dans un sens, je ne regrettais pas ma relation avec Warhol. Comment pourrais-je? J’avais vécue de tels moments avec elle, de ces sensations que l’on ne vit qu’une seule fois dans une vie, une envie de crever pour une personne tellement notre coeur bat vite en sa présence. Pourtant, notre relation m’avait détruit, et me détruisait toujours autant sans que je ne puisse expliquer pourquoi. Je l’aimais si fort, peut-être trop fort. Aujourd’hui, je ne veux plus aimer. Et même si nier que chaque fois que je vois la belle brune au loin j’ai ces papillons au fond du ventre, devient de plus en plus dur, je le ferais parce que c’est la seule façon de m’en sortir saine et sauve. De m’en sortir sans un coeur brisé définitivement à la voir enchaînée garçon après garçon.

Perdue dans mes pensées, musique dans les oreilles, je sens deux bras m’enlacer alors qu’une fine paire de lèvres se posent dans mon cou, créant de nombreux frissons le long de mon dos. Je ne suis pas surprise d’apercevoir le visage d’ange d’Alexis derrière moi qui me souhaite un bon matin. Même avec des petits yeux qui soulignent qu’elle n’a pas énormément dormi la nuit passé, je la trouve magnifique. Je dépose mes lèvres sur les siennes alors que les autres étudiants qui se trouvent devant l’un des nombreux bâtiments de l’école nous regarde, la surprise se lisant dans leurs yeux. Les cours ont beaux avoir commencer depuis quelques semaines, et ils ont beaux me voir quotidiennement avec la blonde, ils ne semblent jamais s’en remettre de voir deux filles s’embrasser. Tant pis pour eux, ils ne savent pas ce qu’ils ratent. Je sens un peu de réticence de mon amie lorsque je tente de prolonger le baiser et je me défais d’elle soudainement, lui offrant un sourire. Avec Alexis, ce n’est pas de l’amour, c’est du réconfort. Le réconfort de savoir que malgré tout, je ne suis pas seule. Cette impression de me sentir toujours désirée. Le mot amour n’a pas sa place dans notre relation, jamais. Et c’est mieux comme ça.

Silencieusement, nous nous dirigeons toutes les deux à l’intérieur de l’Université, plus ou moins prêtes pour une autre journée de cours. Je commence par mon seul cours qui n’ait pas vraiment de lien avec ma technique, soit celui d’anglais. Pourtant, on ne n’y échappe pas, peu importe le domaine dans lequel on étudie. C’est d’ailleurs ce qui rend le cours un peu intéressant, car l’on s’y retrouve avec des gens qui étudie dans tous les domaines possibles. Alexis me raconte à quelle point sa soirée d’hier fut emmerdante à cause de tous les devoirs qu’elle dû rattraper, mais je dû avouer que je n’écoutais présentement que d’une oreille. Au bout du couloir, là où se trouvait le local pour mon cours d’anglais, j’aperçu Warhol, sac sur les épaules et cartable en mains qui semblait attendre que le cours d’avant se termine pour pouvoir aller prendre place dans la salle. Mon regard se perd sur elle, cette beauté et ce charisme qu’elle dégage toujours et je ne peux m’empêcher de sentir mes tripes se serrer contre mon gré. Je la déteste d’être si belle et de me faire toujours ressentir ces putains de sensations que j’essaie tant bien que mal de nier, d’oublier. J’entends toujours la voix d’Alexis dans ma tête, mais je suis complètement concentrée sur la jeune Smith qui n’a pas toujours pas aperçue. Elle m’enrage à me faire ressentir tout ce qu’elle me fait ressentir. Je voudrais pouvoir faire comme si elle n’existait plus. Faire comme si ce qu’on avait partager toutes les deux n’était qu’un élément du passé, quelque chose de beau, mais à lequel on ne touche plus de peur de le détruire éternellement. Pourtant, nous n’étions pas en mesure de mettre tout ça derrière nous. Il nous fallait nous battre continuellement, dans un combat d’allure mortelle qui nous affaiblissait plus que n’importe quoi. Et c’est plus fort que nous, l’on continue. Je la vois qui se retourne vers moi alors qu’Alexis réalise mon moment d’inattention. Je vois les yeux de Warhol qui passe de moi à Alexis, puis qui reviennent finalement à moi et prise d’une impulsion subite, je me retourne vers Alexis que j’embrasse passionnément, sans préavis. Je sais pertinemment que c’est de la provocation et donc la pire façon pour régler les choses avec la brune pour loin, mais j’ai envie de voir sa réaction. Comme si ça m’amusait de la voir jalouse, de créer la chicane. Alexis me repousse gentiment, alors que je sais que je dépasse les limites avec elle, sans le vouloir. « Désolée.. » Je murmure car je ne veux pas que Warhol qui ne se trouve pas si loin comprenne le double-sens de ce qui vient de se passer sous ses yeux. Alexis me sourit alors qu’elle s’efface silencieusement pour se rendre à son local alors que je me rapproche, un sourire fier sur le visage, de la jeune Smith. « Le spectacle t’a plu? » Arrogante, vous dites? Je dirais plutôt sur la défensive. Saleté de sentiments qui vous font agir n’importe comment..
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MessageSujet: Re: « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol   « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol EmptyDim 19 Sep - 17:26



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WEENIE NEWPORT & WARHOL SMITH

« i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol Yvonne-Strahovski-yvonne-strahovski-10979228-100-100 « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol Olivia-wilde-olivia-wilde-14736155-100-100
you disappear with all your good intentions
and all i am is all i could not mention.
like who will bring me flowers when it's over
and who will give me comfort when it's cold.

    L'amour... Un sentiment que je n'avais jamais cru pouvoir connaître. Pour moi, tout ça n'était que superficialité, je pensais que le grand amour n'existait pas, que je ne serais jamais capable d'aimer. C'était simple : les films nous mentaient, rien de tout cela n'était possible. Et pourtant... Une seule personne avait réussi à me faire changer d'idée. Et cette même personne m'avait fait comprendre qu'aimer, c'était nul. Car au final, on finit par être blessé. Peu importe qu'on s'implique à fond, peu importe qu'on fasse des sacrifices, peu importe à quel point on essaye que ça marche... A la fin, ça finit toujours de la même façon. J'avais aimé ces deux ans à ses côtés, je ne disais pas le contraire. Mais aujourd'hui, je souffrais comme jamais je n'avais souffert. Je me rendais compte à quel point je pouvais tenir à une personne, à quel point je pouvais devenir vulnérable quand il s'agissait d'amour. Je m'efforçais de l'oublier, je me devais de l'oublier. Penser à elle ne me faisait que du mal. Je me torturais en l'imaginant avec d'autres filles. Une fille, en particulier. Alexis. Une blonde fade et sans intérêt. Pourquoi donc restait-elle avec elle ? Elle s'affichait avec elle devant toute l'université, et pour quoi je passais, moi ? J'avais mal, je souffrais. Je faisais peut-être la même chose avec les garçons. Je passais d'un lit à l'autre, sans me poser de questions. Quelque part, j'espérais qu'elle était jalouse. Mais au moins, c'était avec des garçons. La voir avec une autre fille, ça faisait mal. Cela m'aurait fait moins souffrir si elle avait été avec un garçon... Je n'arrivais pas à m'imaginer qu'elle faisait tous les trucs qu'elle m'avait fait découvrir avec une autre.

    Lorsque la sonnerie retentit, je perdis le fil de mes pensées. Je soupirais, et fermais alors mon casier, cachant alors une photo de Weenie et moi. Repositionnant mon sac sur mon épaule, je me dirigeais alors vers le local où mon cours d'anglais aurait lieu. C'était la première fois que je m'y rendais depuis la rentrée, et je ne savais pas du tout avec qui je me retrouverais. Attendant devant le local, j'attendais patiemment que les élèves du cours précédent sortent. Ecouteurs sur les oreilles, j'étais dans mon élément. Je n'avais pas beaucoup d'amis, à l'université. Toujours plongée dans ma musique, je n'aimais pas me mêler aux autres. Certains me trouvaient bizarre, d'autres intimidante. Faut dire que j'avais une réputation de casse-cou, une fille qui ne se laissait pas faire et qui n'hésitait pas à gueuler quand ça n'allait pas. Cependant, je n'avais pas de réels ennemis, car je ne détestais pas beaucoup de monde. Je ne jugeais jamais les gens que je ne connaissais, et vu que la plupart de l'université m'était étrangère, même après trois ans passés ici, je ne détestais presque personne.

    Regard fixé sur le sol, je relevais le regard, sentant des yeux posés sur moi. Et pas n'importe lequel. J'étais consciente que Weenie se trouvait au bout du couloir. C'était quelque chose qui ne s'expliquait, je sentais sa présence lorsqu'elle était là, et si avant, c'était quelque chose que j'aimais, ce n'était plus le cas. Car dès que je l'apercevais, mon coeur se mettait à battre anormalement vite, et je paniquais. Croisant son regard, je retins mon souffle quelques secondes. Elle avait le don de me mettre dans tous mes états, et je la détestais pour ça. Comment pouvais-je être aussi amoureuse de quelqu'un ? J'étais complètement dépendante d'elle. Elle pouvait me demander n'importe quoi, si je n'écoutais pas ma raison, je le ferais. Mais je la détestais tellement que je m'interdisais de l'écouter. Oui, je la détestais pour me faire ressentir tout ça, et pour m'avoir détruite. Je n'étais pas sortie indemne de cette relation, elle m'avait laissée en mille morceaux. Je ne serais plus jamais la même...

    Ce fut comme me recevoir une claque en pleine figure. Je sentis des larmes, n'attendant qu'un clignement d'oeil pour couler. Je pris une grande respiration, luttant contre les larmes. Ce n'était pas seulement des larmes de tristesse, non... J'étais également très énervée. Elle savait très bien à quel point j'étais jalouse, et elle savait qu'elle me faisait du mal en l'embrassant devant moi. Voyant la blonde s'éloigner, je tournais la tête, refusant de regarder Weenie une seconde de plus. J'étais blessée, mais je ne voulais pas qu'elle me voit aussi vulnérable. Même avec elle, je n'avais pas été capable, lors du début de notre relation, de laisser paraître mes sentiments. Jamais je n'avait été capable de dire ce que je ressentais dans ma vie. Et pourtant, au bout de deux ans, je lui disais tout, je lui faisais voir qui j'étais vraiment. C'était la seule qui avait réussi à me connaître entièrement. Depuis notre rupture, j'avais reconstruit une sorte de carapace, et j'étais de nouveau dans l'incapacité de confier quoi que ce soit. Et pourtant, j'étais devenue beaucoup plus sensibles qu'avant, ce que je détestais. « Le spectacle t'as plu ? » Relevant les yeux vers Weenie, je me surpris à frissonner à sa présence à quelques centimètres de moi. Je la regardais, furieuse. Son sourire fier me mis hors de moi, mais j'évitais de crier pour ne pas attirer le regard des autres élèves. Lorsque nous étions à l'abri des regards, je me laissais aller, mais je ne pouvais pas me permettre de lui crier dessus devant tous les élèves. Non pas que je n'assumais pas, bien au contraire. « Alors c'est de ça qu'il s'agit ? Tu trouves que tu ne m'as pas assez détruite avec tes conneries, tu veux vraiment que je me sente mal ? Tu me détestes tellement que c'est trop dur pour toi de m'imaginer heureuse ? » Son sourire avait beau me rendre toute chose auparavant, ce n'était plus le cas aujourd'hui, surtout pas en ce moment précis.
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MessageSujet: Re: « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol   « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol EmptyMer 29 Sep - 1:52

Je regarde Warhol et je regrette presque mes actions précédentes avec Alexis. Je ne sais pas ce qui m’a pris, ni pourquoi sur le moment ça m’a fait un bien fou de lui mettre le résultat de nos nombreuses disputes sous le nom. Maintenant, devant le regard pétrifiée de la belle brune, je me sens étrange. Je souris, mais quelque part en dedans de moi, j’ai comme un mal qui m’envahit. Je ne le montre pas évidemment parce que je ne veux plus laisser les émotions que Warhol provoquent en moi m’envahir, mais c’est toujours plus fort que moi. « Alors c’est de ça qu’il s’agit? Tu trouves que tu ne m’as pas assez détruite avec tes conneries, tu veux vraiment que je me sente mal? Tu me détestes tellement que c’est trop dur pour toi de m’imaginer heureuse? » Ses mots me frappent, pourtant je n’en crois rien. Ce n’est pas une Warhol heureuse que j’ai en face de moi, j’ai même presque l’impression qu’elle n’essaie même pas de se donner un air comme moi je le réussis si bien. J’ai envie de lui rire au visage, en réalité je ne sais même pas ce qui me retient. Peut-être se fond de coeur et d’amour dans mon fort intérieur, je n’en ai aucune idée en fait. Tout ce que je sais, c’est que je ne suis pas prête à gober ce qu’elle me dit aussi facilement. Et que je suis encore moins prête à lui attribuer le rôle de victime dans cette histoire. Ce n’est pas comme si je n’en avais pas souffert non plus. « Essaie pas de jouer les victimes Smith. » Mon regard se veut meurtrier, mais je ne laisse pas la peine envahir mon visage. J’ai beaucoup trop de fierté qui me retienne pour vouloir faire pitié comme elle à l’instant. Je passe une main dans mes cheveux, prends un grand respire d’une manière que j’espère subtile même s’il est de plus en plus facile pour la jeune femme en face de moi de devenir le malaise qui m’imprègne plus les secondes filent et que sa présence me déstabilise. Et je la déteste pour ça, tout ça. Si seulement elle savait..

« Je ne vois pas pourquoi tu te sentirais mal de toute façon. Ce n‘est pas comme si tout ce que je faisais avait un lien avec ta misérable personne. » Ma voix est haineuse et je crache du venin sur ma victime qui ne semble même pas être en mesure de se débattre contre moi. C’est ainsi que notre relation se déroulait dans les derniers temps. Ce n’était plus seulement de l’amour, c’était rendu quelque chose de dangereux, de destructifs. On s’accrochait tout autant que l’on se blessait, sans se soucier des conséquences, sans se douter des coeurs brisés qui au final en résulteraient. On ne pensait à rien, on n’agissait que sur le moment, ne pesant pas nos mots et nos gestes qui ont finalement eu raison de nous, comme tant d’autres l’avaient prédits auparavant. Et maintenant, alors que quelques semaines étaient passées depuis la fin officielle de « Weenie & Warhol », je réalisais finalement à quelle point nous nous étions faits mal. Tellement mal que je n’avais plus envie d’aimer, plus envie de me laisser aller à de tels sentiments qui finiraient inévitablement par me tuer petit feu par petit feu de l’intérieur. Comment est-ce que les autres faisaient pour rester ensemble, s’aimer sans continuellement se faire mal? C’était un concept que je ne comprenais pas, que j’avais oublier mais que je ne voulais pas réapprendre. C’était inutile et autodestructeur. Et je préférais de loin cette relation simple et bonne avec Alexis au drame et à la passion avec Warhol. Du moins, c’est ce que j’essayais de me convaincre. « Et t’as jamais été mieux Warhol. Tu crois que je te vois pas avec tous ces hommes autour de toi? Tu crois que j’ai pas remarqué tes allées et venues? T’as jamais su te faire très discrète. » Je ne sais pas pourquoi je m’exprime soudainement à ce sujet. Alors que j’avais voulu être neutre dans cette histoire, me sentir plus forte qu’elle en contrôlant mes émotions, j’avais laissé sortir une partie de cette haine et de cette jalousie qui m’envahit toujours dès qu’il s’agit de la jeune femme. Ma voix se fait de plus en plus forte alors que d’autres élèves se rassemblent autour de la porte, toujours en attente que notre cours commence. Des regards se font sur nous deux, alors que l’on se retrouve complètement face à face l’une de l’autre, dans une distance que l’on pourrait facilement considéré comme limité. Mes yeux lancent des éclairs et je sais mon coeur s’accéléré dans ma poitrine. J’ignore comme cette discussion va se terminer, mais je sais d’avance que j’aurais drôlement préféré l’éviter. Je me fous de savoir que je suis le centre d’attention des autres élèves, que mes drames personnelles attirent tant de personnes. Tout ce qui m’intéresse moi, c’est de voir ce qu’elle a à y répondre.
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MessageSujet: Re: « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol   « i’m gonna pretend that i hate you because it’s easier than loving you. » ― warhol Empty

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