Section mode, on parle Prada Gucci Dior et même Versace. Peu importe si on ne connaît pas le français, la mode est une langue internationale. Vous aurez très vite compris quelle est la passion de notre petite britannique Emily Kennedy. Talons 7,25 centimètres, une démarche impeccable. Ce qui est étonnant c’est ce côté punk, le rouge de ses cheveux ainsi que ses 14 piercings. Il ne faut pas se fier aux apparences, une nana excentrique peut cacher de la classe. Parce que c’est clair elle dégage un truc, elle a du charisme. Mais Ems soit on l’aime, soit on ne l’aime pas.

Déambulant les couloirs, elle salut quelques personnes comme d’autres qui la dévisage. Oui encore une fois, Ems soit on l’aime, soit on ne l’aime pas. Bien qu’elle soit qu’en deuxième année, Emily aime connaitre un maximum de personnes. Il suffit qu’elle rencontre une personne en soirée, si elle finira par la revoir elle ne se gênera pas pour la saluer le lendemain. Mais l'université est immense, il lui faudra encore du temps pour s'y repérer.

Deux ans à trainer dans ses couloirs interminables lui ont appris qu’il s’agissait d’un endroit propice pour passer une heure de trou. Emily en profite pour rester avec un groupe puis repartir aussi vite qu’elle est venue. Dans son élan elle bouscule quelqu’un. Ou plutôt elle bouscule un ami, un vieil ami. Mais d’abord elle lève ses mains un peu brusquement, ne sachant pas quoi dire ou quoi faire sur le moment-même.

« Whot ?! »

Expression aux intonations tranchantes anglaises, pour formuler son étonnement. Emily n’en croit pas ses yeux elle aurait voulue qu’on la secoue pour lui prouver qu’elle ne rêve pas. Orphée à Michigan Valley University, non c’est juste impossible !

« ‘‘Ômandieu’’, dis-moi que je rêve. »

Elle aimait bien se foutre de sa gueule. Orphée est français, et les seuls mots dont il lui avait appris étaient des mots vulgaires. D’ailleurs elle n’avait jamais su prononcer parfaitement son prénom. Orphée devenait Oz, Orphy, O’, Phee. Combien de samedi soir où ils se faisaient jeter de boite. A quatorze ans à peine ils étaient prêts à partir en vadrouille sur une péniche, sous un pont ou whatever.

« Hé bin tu n’as pas changé, Phee. »

Dit-elle dans un sourire sous-entendu. Autrefois ils jouaient au chat et à la souris. Orphée étant un coureur de jupon, Ems ne se voyait pas donner sa virginité à l’époque – bien qu’elle se sentait fortement attiré par sa french touch.

Eh bien je dois dire que pour le cas Devaux. Enfin de la famille Devaux, Sacha Orphée Devaux était la perle sur le cendrier. Un amateur des comédies tragique a passer de Molière à Shakespear pour lui c’est de passer du coq a l’ane sans passer par la poule. Sacha était du genre Poli mais incontournable dragueur inveteré. Depuis son adolescence on dit de lui qu’il est le «Charmless Man» de ses dames et il en profite. Il est en Section Théâtre et ce n’est pas pour rien, bercer dans les mots de Shakespear, il voû un culte au oeuvre théâtrale. Dans son jeans Levi’s et sa chemise preferé d’un style Bûchronnier canadien ouverte sur un t-shirt blanc. Il marcha d’un pas lent sortant de son club de théâtre où il se faisait remonter les bretelles par son directeur. La cause? Deux jours d’absence non justifier au cours d’art dramatique, le mentor de ce club n’est qu’autre que son professeur.

Il marcha les idées légérement deplacé sur une pantalon taille basse qui se dandinait devant ses yeux qu’il percuta de plein fouet une jeune fille pas plus haut que le MckenPis’, Il entendit un ancien qui sonnait comme des ongles sur un tableau noir. Il se retourna le coeur au palpitant à cent à l’heure quand il vit Mily Kennedy.

«Whot?
- Mil’s? o.o»

Les yeux ecarquillaient comme des citrons coupé en deux. Orphée n’était pas du genre à se vanter de ses origines Française même si il ne se souvient plus très bien de cette époque à son âge. Oui Orphée souffre d’anatopagisme... Un syndrome qui est d’oublier son pays d’origine sa langue maternelle et ce qui s’en suit.

«Ohmandieu, dis moi que je rêve?
- J’aimerais bien...»

Il n’en crut pas ses yeux. L’anglaise de son enfance, je dois dire que c’est grace à elle qu’il aime autant les vigils de boite de nuit le nombre de fois que son cul à sentis les ranger’s des vigils... Même plus besoin de ses mains pour les compter. Tant dis qu’il s’approcha d’elle pour mieux l’observer elle lui sorta un compliment qui titilla le sourcil de Sacha preuve d’un enervement précoce.

«A part que je ne suis plus le gamin gringalet d’avant mais merci de dire que JE n’ai pas changer.
- Par contre toi tu vas finir en passoire pour un restaurant Italien. Mil’s.»

C’est vrai que Orphée n’était pas du genre à aimer les percing. C’est bourré de germe et c’est moche au pire autant devenir Cyborg. Oui je dois l’avouer Orphée a une très grande imagination. tout ce temps passer a la draguer avait affecter les sens de Orphée lui faisant perdre la boule mais tout le temps recaler par Emily lui faisait descendre six pied sous terre. Enlevant toute dignité qui lui rester.

« Qu’est ce qu’une Minimoy’s fait ici? La maternelle c’est à coter!»

Un rictus se forma au coin de sa bouche. Elle a horreur qu’il l’appelle ‘Mils, c’est moche, c’est orphéisme, c’est moche. Okay c’était de bonne guerre, il n’aimait pas non plus qu’elle l’appelle Phee (et alors?). Il n'aimait pas du tout. Raison pour laquelle, elle ne cessait pas de l’appeler comme ça. En somme l’agacer est son petit plaisir. Tiens donc, lui aussi avait pour petit plaisir de l’agacer. Disons que c’était aussi (x2) de bonne guerre.

« Qu’est ce qu’une Minimoy’s fait ici? La maternelle c’est à côté! »

Bloody Hell, quel con. Ses yeux se plissèrent, l’air de dire : hin hin très drôle. Orphée est débile. Bon c’est rien de bien méchant. Autrefois ils se lançaient des vannes de collégiens, chose qui est devenu très coutume. Puéril, certes, mais on ne barre pas quatre ans de sa vie en un coup de crayon.

« Ouais c’est ça, me regarde pas avec tes yeux de merlan frit. J’vais t’dire j’ai des piercings où t’peux même pas t’imaginer, hin hin (jubile). Mais oui si ça t’intéresse vraiment j’suis dans la haute/hot couture, moi. Un jour je serais riche (re-jubile) et célèbre et tu pourras me baiser les pieds (re-re-jubile). Ça va j’rigole mon chou.»

Elle se dandinait sur ses talons, avec mille et une questions qui traversaient son esprit. Qu’est-ce qu’il devenait ? Quel cursus suivait-il ? Etait-ce sa première année ici ? Bien qu’Emily en était à sa deuxième année d’université, elle ne connaissait pas tout le monde. D’un autre coté, elle est un peu partout à la fois. Entre les cours, l’association, la confrérie, les soirées, les visages défilaient. Pourtant depuis deux ans, elle ne vit pas de Phee ni de Oz, O’ & Orphy. C’est ici, maintenant, dans ce couloir gigantesque qu’elle le retrouva. Jamais, au grand jamais, elle s’y serait attendue. Signe du destin ? Nope. Elle ne croit pas à ce genre de connerie.

« Tu m’as toujours pas dis ce que tu foutais ici, tu sais, ici, aux Etats-Unis. Ici, dans cette université. Si tu veux que j’exécute une fouille tu peux rêver mais j’ai des menottes dans mon casier. »

Lance-t-elle dans un large sourire. Le pire, c’est qu’elle ne plaisantait même pas.

« Ouais c’est ça, me regarde pas avec tes yeux de merlan frit.
- Je te regarde comme je veux.
Voila qu’elle jouait cette petite peste pimbeche de college. Ca ne m’embetait pas mais risque a avoir a depasser les limites et cela risque d’être très très dur pour elle à supporter.
- J’vais t’dire j’ai des piercings où t’peux même pas t’imaginer, hin hin (jubile).
- J’imagine très bien. Pencha-t-il la tête descandant ses yeux vers une partit caché même pour notre Orphy local!
- Mais oui si ça t’intéresse vraiment j’suis dans la haute/hot couture, moi. Un jour je serais riche (re-jubile) et célèbre et tu pourras me baiser les pieds (re-re-jubile).
- (rire) Je rectifie pour toi veux tu? Tu sera pauvre dans des vêtements qui tiendront pas l’hiver et je laverais tes pieds dans du vinaigre si il le faudrait!
- Ça va j’rigole mon chou.
- Mais moi aussi mon Brocolis.»

Eh beh! je dois dire que pour Sacha cela faisait longtemps qu’il n’avait pas autant jouer sur les mots depuis Miss Clinton lors de son election a la maison blanche. Mil’s semblait pertubé du faite qu’elle voyait une beauté tel que Orphée designait... (chevilles qui enflent) Maintenant qu’il savait ce qu’elle faisait aussi. Il devrait donc lui dire ce qu’il faisait ici et depuis combien de temps. Elle ne tarda pas a poser la question en donnant un detail qui fit rever notre jeune interlocuteur.

« Tu m’as toujours pas dis ce que tu foutais ici, tu sais, ici, aux Etats-Unis. Ici, dans cette université. Si tu veux que j’exécute une fouille tu peux rêver mais j’ai des menottes dans mon casier.
- Oses utiliser les menottes sur moi et tu risques de vite le payé Mil's. Sinon ca fait trois ans que je suis ici. Je suis le cursus Art et Cultures et ma spécialité c'est le Théâtre... Hélas tu n'es pas assez connu dans la mvu pour je me rapelle d'avoir entendu le nom Kennedy... Pourtant c'est pas commun depuis la famille présidentielle.»

Il se mit à rire en voyant l’expression du visage de Emily. C’est vrai qu’elle pouvait être délirante du faite des moindres réaction qu’elle avait sur ces propres désir ou vanes merdique. C’est ce qui lui plaisait chez elle cette fraicheur incompréhansible. Ce qui me faisait femir c’était de l’imaginer se servir de ses menottes contre moi... Ca me donner des frissons dans le dos rien que d’y penser.

« «Hot» couture... Effectivement avec toi ca doit être très chaud. Sache que j’aimerais voir ça. Sinon pour tes menottes c’est quand tu veux »

Il lui tira la langue, en signe d’approbation pour utiliser les ses menottes avec un large sourire un peu hahurit. Le faite de la revoir lui faisait rememorer des souvenirs plus que intense entre lui et Emily.. Le nombre de fois qu’ils ont faillis le faire, donner du piment au jeu au quel jouer les deux jeunes amis de longues dates.

« Rigole. *AHAH* J’t’assure que je suis la nouvelle Coco Channel. Une Coco Channel haute en couleur, prête à redéfinir la mode du bout de mes doigts !
- Je ne crois pas ! Pour etre nouvelle faut déjà que la Coco Channel soit morte... *Moment de reflexion* Eh merde... Bah si tu le dis... je ne crois que ce que je vois!»

Après ma bourde j’avais envie de faire style de passé a autre chose... Je la regardais elle semblait si sur d’elle... C’est beau les rêves de jeunes adolescente qui rêve de devenir la futur Coco Channel ou Styliste chez Prada... nan mais faut bien que jeunesse se fasse! Je dois dire qu’elle avais pris assurance... On dirait moi quelque fois... je n’étais plus le jeune boutenneux de quatorze ans qui commencait a vivre ça vie quand il a connu Emily. Moi qui tombait aussi dans l’herbe anglaise... Ou le temps de la guerre des boutons n’es plus !! Biactol ma sauvé! A par le sexe la drogue et le Rock roulé. J’avais découvert autre chose. Le théâtre... Devant Ottello ou encore Macbeth c’était tout simplement l’illumination de mon existance. Je la trouvais dans les nuages comme si elle revassait douce jeunesse doré!

« Soit, pour les menottes je te prend au mot. Mais je ne te victimiserais pas ici, je ne voudrais pas que tu m’accuses d’harcèlement.
-Pff.. Com..
Sinon tu allais où comme ça ?
-Hein?
Là-bas ? Non, non pas bonne idée, on va allez au parc.
- Mais... Ta vu le temps?« Il pleu comme vache qui pisse.» dis-je dans mon plus beau accent Français. »

Ô France tu me manques! Tes expression à la mord moi le noeud. Doux rêve nostalgique... Je ne l’avais jamais vu parlait aussi vite depuis Ou lala. Mais cela me faisait rire laissant echaper un rire je n’osais pas lui répondre peur de me reprendre en pleine face un monologue du vagin. Je m’approcha d’elle enfourchant mon sac sur mon épaule et je lui dis: « Allons y au parc je sens que l’eau vas te rafraichir les idées... Au faite tu as une jolie moustache de prépubère » J’avais une envie de criez au viol. Nan mais c’est vrai en trois semaines je n’arrete pas de m’envoyer en l’air... Le petit Sacha devra se calmer aujourd’hui! Encore des résolutions que je ne tiendrais pas *baaf*